A l'âge de 18 ans, j'ai pris un studio juste à côté de chez mes parents. Cette situation me permettait d'être autonome et de pouvoir commencer à réaliser ma garde robe.
Certes, je devais faire très attention car ma mère venait de temps en temps faire le ménage ou m'apporter des courses. Par principe, tout était sous clé. Mon approvisionnement se faisait au travers des débarras mensuels dans plusieurs village ou par correspondance.
Nous étions donc un vendredi soir, mes parents absents pour le week-end et me voilà donc seul pendant deux jours. J'avais la quiètude de ne pas être dérangé. Après une épilation minutieuse, je commençais à me maquiller. N'étant pas expert dans le domaine, je prenais du temps afin qu'il soit réussi. Cela je le faisait en me balladant en mule à talon de couleur rouge. Les talons devaient faire au moins 12 centimètres. C'est une paire que j'ai acheté en ville dans une boutique spécialisée en talons hauts.
Je me suis ensuite verni les ongles des mains et des pieds en rose pâle. Cela est plus discret et au cas ou le vernis ne partirait pas cela passe inaperçu. J'enfile ensuite une petite culotte qui a au moins deux tailles en moins. Elle me permet de glisser mon pénis entre mes jambes et de le maintenir fermement. L'effet est surprenant, mon entre jembes resssemmble à celui d'une fille. Une paire de bas Dim-Up, un soutien-gorge avec des faux seins et me voilà toujours plus féminine.
Je termine en passant une jupe qui arrive juste en dessus du genoux et j'enfile un petit pull. la perruque et le boucles d'oreille terminent ma féminisation. Je m'admire dans le miroir, je vais sur le balcon puis à nouveau devant le miroir et je me carresse les cuisses. Comme cela est doux. Mon coeur bât la chamade à en perdre connaissance.
Je saisis mon sac à main puis fourre tout ce dont j'ai besoin afin d'ajuster mon maquillage, mes cheveux et même une paire de bas de rechange au cas où. Mes mules retirées de mes pieds, je me chausse de magnifique escarpins noir vernis dont les talons sont en métal. Ils sont assortis à mon sac à main, j'enfile une veste courte et me voilà sur le palier pour fermer la porte de mon appartement.
En descendant les marches, je prends garde de ne pas faire de bruit. Je n'aimerais pas qu'un voisin sorte et me surprenne.
Me voilà à l'extérieur, tout est calme et je peux enfin prendre ma voiture et partir en ville me balader. je croise des voiture, arrêtée au feux, les gens me regardent. Ils ne remarquent rien et je me sens soulagée. Quel stress mais aussi quel bonheur d'être enfin moi Nathalie.
Je roule en direction du lac. Une fois arrivée, je gare ma voiture et sors me promener sur le chemin qui longe la rive. Je croise des couples qui ne font pas attention à moi. Un homme m'accoste et me demande du feu. J'allume sa cigarette et il profite pour se présenter. Jacques est son prénom. Il a bien 20 ans de plus mais il est courtois et me propose que nous fassions un bout de chemin. Je me sens plus rassurée d'être accompagnée dans la pénombre. Je ne le connais pas mais il parait confiant.
Nous parlons de tout et de nos envies, tout en marchant, il me prend la main et je ne sais pourquoi, je me suis rapporchée de lui. Je sens sa respiration s'accélérer et au coin d'un arbre, nous nous arrêtons. Il me plaque contre et ses mains viennent me caresser le visage. Il me dit que je suis belle et qu'il souhaiterais m'emmener chez lui. Mon coeur va exploser. Première sortie, premier rencard, la peur m'envahit. Je ne sais pas si il a senti mon état mais il s'est ravisé.
Je sens son souffle dans mon cou et sa bouche se rapporche de la mienne. nos lèvres se touchent et sa langue vient chercher la mienne. Il m'embrasse comme un fou et moi je ne refuse pas ce baiser. Ses mains caressent mon corps, je suis excitée comme une folle. Ma main saisi son sexe au travers de son pantalon, il est dur comme de l'ébène. Sa respiration est toujours plus forte et il me prends par les épaules, appuie fermement, je me re trouve accroupie, le visage devant son énorme sexe. Ils ouvre son pantalon et je le prends pleinement dans ma bouche. Mes mains malaxent ses testicules.
Mon dieu comme il aime cela, il me tient la tête pour que je le prenne en entier. Ses râles sont toujurs plus fort et dans une étreinte finale, il se décharge dans ma bouche et sur mon visage, J'avale se liquide chaud légèrment amer et salé. Il vient m'embrasser et me lécher le visage. Sa langue s'enfourne dans ma bouche et je ressens un bonheur profond d'être femme à cet instant.
Il me racompagne jusqu'à ma voiture et c'est par de doux baisers qu'il me quitte, mes jambes tremble encore mais je suis heureuse. De retour à la maison, je ne fais que de me changer et me démqauiller. Je garde mes bas, mon slip puis j'enfile une nuisette pour dormir. Je ferme les yeux et repense à ces instants vécus juste avant de m'endormir...
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