Internet est un outil qui nous permet de surfer sur les différents sites de rencontres, de trouver les photos que je dévoile dans mon blog et surtout de voir que l'on est pas seule. Qu'il y a d'autres hommes comme moi qui aiment la féminité. Il sert aussi d'échapatoire pour hommes ou femmes délaissées.
Un vie secrète au travers de la toile et faire des rencontres d'abord virtuelles puis réelles.
Ce vendredi soir, j'ai rendez-vous avec une amies du net qui comme moi, aime la féminité et de surcroît a une tendance au vice de façon élevée. Cela, je l'ai su qu'après.
Arrivée dans ma chambre, je me suis préparée comme elle me l'avait demandé. Epilation complète du corps, lavements profonds, rasge de près de la barbe et menottes aux poignets. Je l'attends à genoux dos à la porte d'entrée. J'ai du mettre un bas à la poignée afin qu'elle reconnaisse la chambre. La clé des menottes sont posée sur le port du bureau. Mes yeux sont bandés et je l'attends pendant plusieurs minutes.
Un léger cliqueti attire mon attention, je sens l'air frais venat de l'extérieur, des bruits sourds comme pour faire peur. la porte de referme et là, j'entends le double tour de clé dans la serrure. Elle ne dit rien, s'approche de moi, me caresse les tétons, je frémi. elle me demande de me lever puis me guide pour m'assoir sur la chaise du bureau.
Elle écarte mes jambes et les lie à la chaise, fait plusieurs tour de corde autour de ma poitrine et de mon ventre. Puis elle détache les menottes et me ligote les bras aux accoudoirs de la chaise. Je suis complétement immobilisé et elle profite pour m'annoncer qu'elle va me féminiser dans les moindres détails. Pour cela, elle relève que je doit collaborer sous peine de rester ainsi la nuit entière.
Je lui promets de m'exécuter sans jamais refuser ce qu'elle me demande. Elle ote mon bandeau et je découvre cette belle femme devant moi. Elle est vêtue de bottes noires à lacets qui s'arrêtent juste au dessous du genoux, porte des bas nylons, une jupe si serrée que l'on voit les formes du porte-jarretelles, son chemiser, complètement moulant lui donne une poitrine d'enfer. Son visage est fin et le maquillage d'une perfection incroyable.
Je vais passer par différents stades de préparation:
1) Maquillage du visage
2) réalisation de la poitrine
3) Habillage
4) séance photos
5) sortie nocturne
6) Débauche et plus si je me comporte bien.
Je commance à avoir peur mais je ne lui montre rien, je suis à sa merci et je ne peux que lui obéir. Elle commence par appliquer une pâte sur mes sourcils puis m'applique différents fonds de teints. Elle me maquille les yeux, la bouche les joues, mes lèvres, me met des faux cils et termine en me mettant des boucles d'oreille créoles qui fonctionne comme des pinces. Je ne peux pas me voir dans la glace mais je me réjouis déjà du résultat.
Elle s'ammuse en suite à me ligoter chaque doigt des deux mains, c'est seulement au moment où elle a appliqué la colle et les faux ongles que j'ai compris. Je ne peux refuser des ongles qui seront difficiles à enlever. Pour la poitrine, elle me fixe des coussins de latex juste en dessous des mamelons et légèrement sur l'extérieur. Une fixaton me ramène les seins vers le centre et me donne la forme d'un décolté. Pour améliorer, elle fixe un second dispositif afin de tendre encore plus et de donner du volume à mes seins. Un mauqillage savant vient donner une rondeur en forme de v à mes seins.
Me voilà, libre de mes mouvements et elle me demande de prendre quelques poses sur le lit afin de prendre des photos. Je me sens ultra féminine et ultra excitée. Elle m'aide pour m'enfiler mes bas, passer mon prote-jarretelles, ensuite je mets un string en satin noir très serré pour maintenir mon sexe en place à mon entre-jambes. Le soutien-gorge est en cuir et enveloppe ma poitrine et me donne un décolté d'enfer. Je me déplace vers l'armoire de la chambre mais elle m'interrompt en me demandant de mettre les vêtements qu'ele me tend.
Il s'agit d'une jupe en cuir et d'un haut en satin noir. Je les ajuste et me reparde dans la glace. J'ai peine à au combien cela me va. Pour les chaussures, elle choisit une paire de sandalettes noires. Mon pieds est bien bridé et ils m'allongent les jambes de manière interminable. Nous faisons encore des photos mais là ses mains se promènent sur mon corps et sa langue vient léche mes lèvres. Nous busons du champagne et les bulles commencent à monter à la tête. Que cela est bon de se sentir femme et lesbienne de surcroît.
Nous enfilons nos manteaux, prenons nos sacs à main et quittons la chambres pour une ballade nocturne. Le vent toujours aussi frais me fait frémir de plaisir. Nous prenons sa voiture, elle souhaite m'emmenr dans différents endroits. Nous commençons par aller boire un verre dans bar gay que je ne connaissais pas. Nous disuctions de nos vie, de nos envies et bien sur de petites choses de filles. C'est vraiment génial et je suis épanouie.
Soudain,elle me tient la main et me glisse un objet ovale. Elle m'ordonne d'aller me le mettre au plus profond de moi au WC et de revenir aussi vite. Je m'exécute et je ne manque pas de faire tourner quelques têtes. Assise, je lui demande ce que c'est, elle me réponds que je verrais bien au moment venu. Nous sortons et rejoingnons la voiture. A quelques minutes de là se trouve un club dans lequel nous trouvons d'autres de ses amies. Elles me présente et je sui complmentée pour ma tenue. Je leur retourne leurs compliments. Elles sont toutes belles.
Nous dansons et sans m'y attendre, mes fesses commencent à vibrer avec une force venant du fond de mon cul. Je ne contrôle plus mon corps et je ne contrôle pas cette sensation. Elle une télécommande dans les main et contrôle l'oeuf qui est en moi. je m'approche d'elle et elle me suçure à l'oreille. Cela te plait-il? Je lui pose un doux baiser sur ses lèvres charnues.
Il est environ deux heures du matin, nous partons avec la voiture et seule, elle me demande de mettre les bracelets, les chevillières et le collier qui se trouvent dans le vide poche. Nous roulons encore sur une dizaine de kilomètres et m'ordonne d'enfiler la cagoule. elle ne souhaite pas que je vois le lieu où elle m'emmène. La voiture s'arrête, je reste assise et elle vient m'ouvrir la portière. Je me lève et elle me fise les mains dans le dos, attache une petite lanière aux chevillières, juste pour restraindre ma déamrche.
Une fois debout, elle me met une longe et m'ordonne de la suivre. Je marche sur un chemin de cailloux, de l'eau se trouve sur mon passage et mouille mes pieds. Nous changeons de direction et mes pas s'enfoncent dans la terre, j'ai de la peine à marcher et je m'enfonce toujours plus. Je suis à l'arrêt et mon corps descend toujours plus. Elle me tire sur la longe et m'allonge dans la boue. Elle profite pour me traiter comme une chienne.
Je suis dans la boue jusqu'au bassin. Elle ne me dit rien et je reste ainsi seulle au milieu de la campagne bloquée sans pouvoir m'échapper. je suis prise de panique, je me débats mais sans pouvoir faire quoique soi. Je me pisse parmis et je trempe comme jamais. Je suis sa truie toute sale et je devrais la satisfaire lorsqu'elle m'aura libérer. Je lui jure que je le ferais. Elle libère les bras et je sors de ce bourbier. Nous arrivons à la voiture et pour ne pas la salir je dois aller dans le coffre.
Me voilà enfermée et prise au piège, je sui secouée comme un légume. La voiture s'arrête, le coffre s'ouvre et elle me fait sortir. Nous sommes à un car wash et elle me lave avec le jet et me retire tout la boue de mon corps. elle ne manque pas mon entre-jambes et l'oeuf vibre à nouveau. je me cambre comme une saloppe et je me faire baisser comme une chienne. Elle me plaque contre la parois et soulève ma jupe. Me demande de pousser pour récupérer l'oeuf.
Voilà mon trou libre de tout droit et je sens son sexe dur se pointer sur mon oeillet. elle pousse et je la reçoit au plus profond. Elle me baise en me tenant pas les reins et sur le point de jouir, elle sort de moi et jouit dans sa main. Je dois lui la lécher jusqu'à la sernière goutte. Que cela est bon et j'en veux encore. Sans m'y attendre, un hoomme apparait une caméra à la main. Ils se connaissent et je me retrouve à nouveau plaquée mais cette fois-ci sur le capot de la voitue. Il vient en moi comme une brute. Je n'en peux plus mais j'aime cela.
A nouveau attachée dans le coffre, nous repartons pour l'hôtel. Il me font descendre et me tendent une cassette video. Ils me disent merci et partent. Je suis sur le cul et jambes flanchent. J'ouvre ma porte et tombe sur le lit heureuse des cette soirée...
Voici comme nous nous sommes amusées
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